Il y a deux ans, elles étaient venues en nombre lorgner sur nos assiettes, en toute impunité. À cette époque, quelques semaines après la fin des confinements successifs, les restaurateurs disaient n’avoir jamais vu cela auparavant. Attirées par nos boissons et nos jolies assiettes, salées comme sucrées, les guêpes venaient y chercher de quoi nourrir leur colonie. Et cette année ? Rebelote.
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Un peu comme il y a deux ans, un hiver doux et un printemps sec ont favorisé leur reproduction. “Le printemps sec a permis à de nombreux nids de guêpes de se développer et les ouvrières ont pu aider les larves à grandir en leur fournissant de la nourriture en abondance”, explique l’agence de presse belge Belga. À tel point que les scientifiques de Natuurpunt, l’une des principales associations pour la protection de la nature en Belgique, prévoient une “année record” pour les guêpes en 2022.
Bref, il va falloir prendre son mal en patience.
